Communiqué de François Grosdidier du 29 avril 2020
Le Républicain Lorrain du 25 avril 2020
Communiqué de François Grosdidier du 2 avril 2020
Alerté par le Docteur Khalifé Khalifé sur la persistance et même l’aggravation de la pénurie de médicaments dans les hôpitaux du département de la Moselle, et ce malgré les efforts de coordination et d’optimisation des secteurs public et privé de ce département, j'ai saisi le Premier Ministre et le Ministre des Solidarités et de la Santé.
Les élus du département ont par ailleurs eu l'occasion d'alerter le Préfet sur ce problème lors de l'audio-conférence organisée le 31 mars au soir.
Nous avons été surpris par ailleurs de ne disposer d'aucune donnée sur la répartition des moyens à l'échelle du département, alors que notre situation frontalière et les possibilités de transfert vers nos voisins luxembourgeois et allemands ne sauraient justifier une moindre allocation de moyens à la Moselle.
J'ai demandé aux membres du Gouvernement d'apporter une réponse rapide à ces problèmes urgents.
Communiqué de François Grosdidier du 19 février 2020
Plainte en diffamation contre Pierre Person
Communiqué de François Grosdidier du 11 février 2020
Communiqué de François Grosdidier du 23 décembre 2019
Le gouvernement ruine les efforts faits à Hôpital militaire Legouest et son partenariat avec le CHR !
Je lui ai rappelé que l’HIA Legouest à Metz, héritier du prestigieux hôpital amphithéâtre d’instruction fondé à Metz en 1732, fait partie intégrante du paysage hospitalier messin et lorrain et est membre depuis juillet 2016 du groupement hospitalier du territoire (GHT de Lorraine Nord).
En 2013-2014, à la demande du service central de santé des armées dans le cadre du programme national « SSA 2020 », un projet médical mixte entre le HIA Legouest et le CHR Metz-Thionville a été acté en juin 2016. Il est le fruit d’une concertation et d’une réflexion débutées plus de deux ans auparavant, et facilité par une histoire et des objectifs communs. Il est enrichi par un comité de pilotage associant les acteurs des deux établissements en lien étroit avec le Service de Santé des armées (SSA) et l’Agence Régionale de Santé Grand Est (ARS). Les ministères de tutelle (la défense et la santé) ont exercé un regard particulièrement attentif à ce projet.
Par la suite, le projet de restructuration voulu par le SSA définit clairement la feuille de route pour Metz :
D’abord, les chirurgiens orthopédistes et viscéraux ainsi que les anesthésistes-réanimateurs ont été intégrés dans les services du CHR dès novembre 2015. L’activité exercée contribue largement au maintien et au développement de leur expérience indispensable pour les OPEX.
Ensuite, un remarquable partenariat s’est organisé sur les urgences et la médecine :
Le Service des urgences (SU) de Legouest a fait l’objet d’une évaluation en Mai-Juin 2015. Celle-ci a très vite conclu à la nécessité de son maintien dans l’offre messine. En effet, sa localisation en plein centre-ville, et son attractivité (plus de 25.000 passages/an) le rend indispensable, d’autant plus que le SU du CHR à Mercy est largement saturé avec plus de 60000 passages/an. Les deux SU sont complémentaires et leur fonctionnement sera assuré conjointement par des équipes médicales Civiles et Militaires. Ceci permettra aux médecins militaires de garder une compétence en matière de gestions des urgences lourdes du CHR, d’harmoniser les protocoles de prise en charges entre les deux sites.
Autour du SU de Legouest :
Une unité de médecine polyvalente et post urgences constitue avec l’Unité de médecine interne-maladies systémiques et rares, la partie « Legouest » du Pôle « bi-site » de Médecine. Le site de Mercy sera doté de l’unité de maladies infectieuses et tropicales et d’une unité de médecine polyvalente et de post urgences.
L'établissement prévoit de renforcer le service de médecine physique et de réadaptation (MPR) qui recevra aussi sur le même lieu le service MPR du CHR. La psychiatrie sera maintenue. Un ophtalmologiste militaire devrait notamment prendre ses fonctions à l'HIA dans l'optique de ré ouvrir le service à ce jour fermé. Tirant profit de son rapprochement avec le CHR de Metz-Thionville, l'hôpital militaire développera son plateau de consultation externe à l’instar de la collaboration réussie autour de la mise en place à l’HIA Legouest de l’Unité de Consultation d’Odontologie Non Programmée (10 000 patients par an).
Il conservera aussi son activité d'imagerie médicale. Par contre, Il est prévu l’intégration progressive de l'activité de laboratoire de l'HIA dans le laboratoire du CHR.
S'agissant de la maintenance biomédicale, les équipes du CHR et de l'hôpital militaire seront là encore amenées à coopérer.
L’unité médico judiciaire (UMJ) et le Centre d’Enseignement des Soins d’Urgence (CESU) sont déjà transférés sur le site de Legouest.
Un projet de "centre de production alimentaire", porté par Metz-Thionville est voué à s'installer sur le site militaire. Plus de 9.000 repas par jour y seront préparés.
Ce projet médical est conforté par un projet pédagogique qui a fait reconnaître le CHR par l’école du Val de Grâce comme site d’accueil et de formation des médecins militaires.
Ainsi toutes les conditions ont été réunies pour la réussite de ce partenariat civil-militaires, au service des forces armées comme de la population du territoire de santé. L’HIA Legouest garde sa vocation militaire, autant par son implication dans le soutien opérationnel des armées que par sa participation à la résolution des crises sanitaires sur le territoire national. Renforcé par ces partenariats avec le CHR, il pourra aussi continuer à apporter une réponse de qualité aux besoins des plus de 70.000 militaires et leurs familles présents dans la zone de défense qui en dépend.
Ainsi, cette nouvelle position du gouvernement est incompréhensible et réduirait à néant les efforts entrepris et les coopérations engagées. Je demande donc au gouvernement de les respecter et de reconsidérer sa position.
"La Semaine" du 5 décembre 2019
"Le Républicain lorrain" du 1er décembre 2019
"Le Républicain lorrain" du 29 novembre 2019
"Le Républicain lorrain" du 18 novembre 2019
"La Semaine" du 14 novembre 2019
Communiqué de François GROSDIDIER du 22 octobre 2019
Je tiens à exprimer tout mon soutien à M. Jean-Louis CHUTZ, maire d’Epping et ancien conseiller général du canton de Volmunster, agressé par un administré dans sa commune, le lundi 21 octobre 2019 alors qu’il y promenait son chien.
Je lui ai immédiatement fait part de mon amitié et je ne doute pas que la Justice saura donner à cette affaire toute la suite qu’elle mérite à la fois pour sanctionner le choc causé à une personne physique mais aussi pour marquer le caractère inacceptable d’une agression d’une personne publique défendant l’intérêt général.
Les Mosellans sont réputés plus calmes que d'autres Français, pourtant dans un passé récent, les maires de Moulins-lès-Metz et de Fresnes-en-Saulnois ont aussi fait l'objet d'agressions, c'est absolument inadmissible. Il faut que cela cesse.
Communiqué de François GROSDIDIER du 2 octobre 2019
Le Journal « L’Etudiant » vient de publier son classement général des villes étudiantes 2019-2020. 44 unités urbaines de France de plus de 8 000 étudiants sont ainsi présentées au choix des jeunes en fonction de leurs atouts en termes de cadre de vie, d’offre de formation, de coût du logement, d’emploi ou de transports.
Metz n’est classée que 37ème sur 44. Pire, elle recule de deux places par rapport à 2018, tandis que Nancy est 13ème en gagnant deux places et que Strasbourg occupe la 7ème place.
La municipalité sortante n’a pas réussi à rendre la ville attractive pour les « Erasmus » ou ceux de 3ème cycle, pas plus qu’elle n’a pu jouer sur l’animation et les aides culturelles au profit de la jeunesse, ni pu mener une politique forte pour un meilleur cadre de vie (places en résidences étudiantes, parc locatif, facilités de transports en commun ou à vélo).
L’évolution peu favorable de l’emploi dans la région et le développement économique en berne n’incitent pas non plus les étudiants à considérer Metz, qui bénéficie pourtant d’un positionnement géographique formidable et de solides atouts scientifiques et transfrontaliers, comme une destination privilégiée.
Pourtant, la Lorraine Nord a ses atouts propres et a besoin de plus d’ingénieurs que d’autres bassins. Metz n’en forme pas assez et l’Université de Lorraine lui a refusé la création d’une nouvelle école. Metz paye son retard universitaire et la mauvaise gouvernance en vigueur depuis la création de l’Université de Lorraine qui a donné, dans les faits, tous les pouvoirs à Nancy.
Cela doit changer.
Communiqué de François GROSDIDIER du 11 septembre 2019
Metz rayée de la carte universitaire par la conférence des présidents d’université.
On nous avait promis qu’en acceptant la fusion des universités de Metz et Nancy, il n’y aurait plus qu’une Université de Lorraine. Au fil des années, nous avons vu Nancy concentrer toutes les fonctions de directions, booster les projets nancéiens et bloquer les projets messins. Le dossier Mista est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
La réalité est qu’il n’y plus d’Université de Metzmais pas d’Université de Lorraine, juste une Université de Nancy, avec des délocalisations : Metz comme Bar-le-Duc, Épinal, Forbach, Longwy, Lunéville, Saint-Avold, Saint-Dié-des-Vosges, Sarreguemines,Yutz...
Metz est même formellement rayée de la carte universitaire par la conférence des présidents d’université, comme l'atteste le document de sa commission de la recherche et de l’innovation (PJ).
Je vais saisir le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Sur un plan formel, je demande à la Conférence des Présidents d’Université de corriger immédiatement sa copie. Sur le fond, un grand débat territorial s’impose, s’appuyant sur l’examen exhaustif et détaillé de la répartition des moyens entre les sites depuis la fusion. J’attends aussi de Metz et sa métropole une position plus offensive et un renforcement du poids de la Moselle dans la gouvernance. A terme, à défaut de rééquilibrage, Metz devra reprendre la maîtrise de son destin.
Communiqué de François GROSDIDIER du 19 août 2019
Philippe Leroy décédé : la Moselle en deuil, le Sénat en peine.
Philippe Leroy s’est éteint. Je présente à son épouse Christiane et à toute sa famille mes sincères condoléances et exprime mon amical soutien.
Tous les Mosellans sont en deuil. Ils se souviendront d’un grand président du Conseil Général animé par une vision de son département et dirigeant avec justesse l’action d’une collectivité puissante.
Les sénateurs, particulièrement ceux de notre groupe LR, se souviennent d’un homme de synthèse les enrichissant d’une réflexion approfondie et d’une vision reposant sur une double synthèse :
-synthèse aboutie entre la pensée de Robert Schuman et de celle du Général de Gaulle, sur l’économie, le social et l’Europe ;
- synthèse urbain/rural : il défendait le Saulnois et les territoires ruraux, l’agriculture et la sylviculture dont il était l’expert au Sénat, mais aussi la Moselle industrielle et frontalière, ainsi que la ville de Metz, l’appuyant dans les enjeux métropolitains et dans son développement culturel et universitaire.
Ses réflexions doivent continuer à inspirer les élus mosellans, des villes et des campagnes et elles inspireront toujours celles de ses pairs au Sénat de la République.
Communiqué de François GROSDIDIER du 23 juillet 2019
Non à la Loi Alsace : écotaxe sur l’A35, mais pas sur l’A31 !
Cette après-midi au Sénat, avec mes collègues lorrains, je vote contre le projet de loi Alsace tel qu’il est définitivement rédigé. L’Assemblée Nationale a supprimé mes amendements qui ouvraient aux autres départements les prérogatives accordées à l’Alsace.
Surtout, l’Assemblée Nationale a retiré la disposition permettant d’instaurer l’écotaxe poids-lourds pas seulement en Alsace, mais aussi en Lorraine. Aujourd’hui, l’A35, dans la vallée du Rhin, et l’A31, dans la vallée du Rhône, se partagent le déport transit international routier, faute d’écotaxe en France, car l’Allemagne et la Suisse l’ont instaurée depuis longtemps. La nouvelle loi déportera en plus le trafic de l’A35 sur l’A31.
Le Sénat avait pourtant adopté à la quasi-unanimité, Alsaciens compris, cette extension à la Lorraine. Les députés LREM sont revenus au texte initial du gouvernement.
En commission comme en séance (24 et 25 juin), les députés LREM et MoDem de la Moselle ont brillé par leur absence dans les débats et, au final, ont voté contre la Lorraine. Seul Mosellan présent, Ludovic MENDES a expliqué piteusement qu’il était « compliqué pour (lui) de défendre une opinion contraire à celle de certains de (ses) collègues qui sont non seulement de la majorité mais surtout de la même région que (lui) ».
Le député LR de la Moselle Fabien DI FILIPPO a tenté, lui, par amendement, de réintroduire les dispositions sénatoriales. Son amendement a été rejeté par l’Assemblée Nationale.
Injuste sur les principes, cette loi entrainera une situation réellement catastrophique sur l’A31. L'inaction et le vote des députés LREM de la Moselle sont totalement irresponsables.
La Semaine du 19 juin 2019
Le Républicain lorrain du 14 juin 2019
Des universitaires messins rompent depuis plusieurs mois une « omerta » sur les déséquilibres Nancy/Metz au sein de l’Université de Lorraine. Le 25 février dernier, le Président Mutzenhardt est venu, sans convaincre, s’expliquer devant le Conseil de Metz-Métropole, puis a adressé aux membres du Conseil, le 25 mars, une lettre d’autosatisfaction illustrée par des anecdotes mais sans traiter de façon exhaustive. J’ai répondu par un long communiqué de presse, le 26 avril, pour démontrer l’accaparement des pouvoirs et des moyens par Nancy. Le 29 avril, le Président Mutzenhardt a fait voter par le conseil d’administration de l’Université de Lorraine un point qui n’était même pas inscrit à l’ordre du jour de la séance : l’abandon de la création du projet d’école d’ingénieurs à Metz, MISTA. Illégale sur la forme, cette décision est scandaleuse sur le fond. MISTA est un dossier emblématique et sensible. Il est surtout un révélateur. L’Université unifiée de Lorraine se révèle être une machine à empêcher le développement de l’enseignement supérieur à Metz. Ce vote est une provocation de la part du Président Mutzenhardt, prévenu par tous les élus de Metz-Métropole, et des Nancéens, majoritaires de façon écrasante au sein des instances de l’Université de Lorraine. Metz est l’une des métropoles de France les plus sous-développées en matière universitaire par rapport à son bassin de population, car elle n’a jamais pu rattraper son retard historique lié à l’Annexion. Metz est devenue une annexe de Nancy tandis que Reims ou Troyes, avec des effectifs largement inférieurs, ont conservé des université autonomes. Contrairement à la promesse lors de la fusion, Metz se voit aujourd’hui interdite de développement. Il convient de redéfinir les règles de gouvernance et de répartition des moyens au sein de l’Université de Lorraine ou alors, pour Metz, d’en sortir.
Articles du Républicain Lorrain des 4 et 5 avril 2019
Communiqué de François Grosdidier
Au Sénat, je vote contre le projet de loi d’orientation sur les mobilités car le gouvernement ne veut (sauf pour l’Alsace) ni l’indispensable écotaxe PL alors que nous subissons le déport de tout le trafic Nord Sud de l’Europe, ni l’indispensable liaison fluviale Moselle-Saône à grand gabarit.
François Grosdidier : candidat "utile" pour Metz
Communiqué de François Grosdidier
L’A31 Bis : l’Etat doit écouter et entendre les élus locaux concernés
L’A31 Bis est absolument indispensable.
L’A31 déjà engorgée sera à saturation complète avec l’augmentation exponentielle du transit international des poids lourds. La route de la soie arrive à Rotterdam par la voie maritime et se poursuit, jusqu’à Bettembourg par la voie ferroviaire puis se diffuse en Europe par la voie routière, en premier lieu par l’A31.
L’A32 programmée il y a plusieurs décennies, il y a 20 ans a avorté par l’irresponsabilité d’élus mosellans. En substitution, l’A31 Bis est indispensable à court terme même si nous maintenons ou ressortons les projets de renforcement des axes ferroviaires et fluviaux, aujourd’hui dans les oubliettes.
Mais l’État ne doit pas prétexter de cette nécessité absolue pour exercer un chantage sur les élus mosellans. A savoir : Le choix entre le tracé voulu par l’administration de l’État ou pas d’A31 Bis du tout.
Le projet que veut imposer la technostructure serait un très mauvais coup à la ville de Florange déjà tellement malmenée et aux agglomérations de la Fensch et de Thionville.
L’ensemble des EPCI du Nord Mosellan propose un tracé permettant à l’A31 Bis d’être un atout pour le re-développement du bassin, avec la réalisation d’un souterrain sans quoi la ville de Florange serait coupée en deux et irrémédiablement sinistrée.
Je demande au Gouvernement d’écouter et d’entendre enfin la position unanime des élus du Nord Mosellan
Article de La Semaine du 21 février 2019
Article de La Semaine du 24 janvier 2019
François Grosdidier gagne le procès en diffamation
Article du Républicain lorrain sur les suicides de policiers
Article du Républicain lorrain sur la prochaine élection municipale à Metz
Ces parlementaires qui comptent à Paris dans le magazine Grand-Est
Interview au Républicain Lorrain sur le rapport de la commission d'enquête
Article du Figaro et interview sur le rapport de la commission d'enquête sur l'état des forces de sécurité intérieure
Débat sur la loi "Asile et immigration" sur Public Sénat
Article du Figaro sur la commission d'enquête sur l'état des forces de sécurité intérieure
Interview dans le magazine L'Abécédaire des Institutions
Interview de Sud Radio sur l'attentat de Trèbes
Interview à propos l'attentat de Trèbes sur Public Sénat
Débat sur Public Sénat : premier bilan de la commission d'enquête sur l'état des forces de sécurité intérieure
Débat au sujet de l'Ecotaxe sur Public Sénat
Interview au Républicain Lorrain du 4 février 2018
Retrait d'Alain Juppé des Républicains : la réaction de François Grosdidier
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